Hopium

Le projet Hopium veut donner naissance au premier constructeur de véhicules 100% hydrogène français.

Paris, France
Hopium,entreprise française
Mobilité bas carbone
Mobilité bas carbone, R&D

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Les transports sont encore aujourd’hui le premier poste d’émission de gaz à effet de serre (GES) en France. Les voitures particulières (près de 40 millions de véhicules) participent à la moitié des émissions des transports en France. En moyenne, ce sont près de 2 tonnes de CO2 qui sont rejetées par an et par personne ! A l'heure où 9 Français sur 10 utilisent la voiture au moins une fois par jour, le défi reste entier pour inventer une forme de mobilité moins nocive pour le climat, et notre santé.

Le projet Hopium veut donner naissance au premier constructeur de véhicules 100% hydrogène français. L’entreprise a présenté son prototype au grand public et prévoit de commercialiser un premier modèle en 2026. Son ambition ? Porter l’innovation dans le secteur de la mobilité et “ouvrir la voie vers l’hydrogène”.

Parmi ses nombreux avantages, le véhicule hydrogène permet en effet de ne rejeter dans l'air, aucune émission nocive pour le climat, comme le CO2, ou dangereux pour la santé, comme les oxydes de carbone (NOx) ou les particules fines. La substitution des véhicules essence et diesel par des véhicules à hydrogène vert permettrait donc de réduire considérablement les émissions de CO2 générées par les transports.

L'impact des projets financés grâce aux clients helios

155 792 584 €
déjà déposés chez Helios et sortis des grandes banques polluantes
6 000 000€
investis dans des projets qui accélèrent la transition écologique
75 000
tonnes de CO2 évitées depuis avril 2021

Les technologies électriques et hydrogènes pour la mobilité, loin de s'opposer, sont complémentaires. Bien que les batteries électriques répondent très bien aux besoins des véhicules légers et pour des distances courtes, elles sont trop lourdes, polluantes à fabriquer, et dotées d’une autonomie trop faible pour des véhicules plus lourds (camions, trains, péniches...). La mobilité hydrogène répond à ces limites en offrant une meilleure autonomie (1000 km en 3 min de recharge), avec un poids maîtrisé. Elle permet aussi de réduire l’utilisation des batteries, gourmandes en matières premières (Nickel, lithium, Cobalt).

Encore aux prémices de son développement, la mission d’Hopium s’inscrit dans le long terme : démontrer qu’il est possible de produire à grande échelle des véhicules 100% hydrogène. En cela, le première modèle développé Hopium, plutôt haut de gamme, est autant un défi industriel qu’une vitrine technologique pour accélérer la démocratisation de cette technologie.

Enfin, l’entreprise Hopium a fait le choix d’une production 100% “made in france” 🇫🇷, s’appuyant sur un savoir-faire national malmené par la crise sanitaire et les délocalisations, pour développer une filière d'avenir dans nos territoires. Les bénéfices : créations d'emploi, développement d’un réseau de fournisseurs et partenaires locaux, compétitivité à l’internationale...

Si le véhicule hydrogène offre des perspectives réjouissantes, il n'est pas une solution miracle. Il doit impérativement s’accompagner du développement de la production d’hydrogène vert, issu de sources renouvelables - et non pas des énergies fossiles.

Et le défi est de taille : à l'heure actuelle, 90% de l’hydrogène mondial est gris (issu des énergies fossiles), 1% seulement est vert. La situation pourrait évoluer grâce au plan d’investissement de 7,2 milliards d’euros annoncé en septembre 2020 par le gouvernement.

Pourquoi nous avons choisi Hopium ?

Un projet qui coche toutes les cases

L’exclusion

Le projet Hopium propose une alternative aux énergies fossiles en utilisant de l'hydrogène vert pour se déplacer.

L'impact

Nous avons investi dans Hopium au tout début du projet en 2020, lors de la phase de R&D concernant le moteur à hydrogène vert, afin d'encourager une alternative aux moteurs traditionnels.

un projet vert français

Hopium est une société basée à Paris, et qui prévoit de produire toutes ses voitures en France.

L’analyse “social et gouvernance”

Le projet propose une alternative encore peu étudiée pour se déplacer, grâce à l'hydrogène vert.

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